
Le maillon faible, c’est souvent l’humain
On pense souvent que les problèmes de cybersécurité viennent de l’extérieur.
Mais dans la réalité, une grande partie des incidents commencent à l’intérieur… sans aucune mauvaise intention.
Ce n’est pas une question de compétence. C’est souvent une question de routine :
on clique trop vite, on fait confiance, on est pressé ou fatigué — et le piège se referme.
Un mot de passe partagé, un lien mal vérifié, une clé USB oubliée…
💥 Il suffit parfois d’un détail pour compromettre tout un système.
Voici quelques exemples typiques, observés dans des cabinets médicaux :
- 📩 Ouverture d’un email “urgent” sans vérifier l’expéditeur
- 🔗 Clic sur un lien piégé dans un message qui semble venir de la CNS
- 💬 Un mot de passe donné à un remplaçant, jamais modifié ensuite
- 🖨️ Une impression automatique envoyée à la mauvaise imprimante
- 👂 Discussion de cas cliniques identifiables dans un lieu public
L’humain n’est pas un problème : c’est la richesse du métier.
Mais comme pour d’autres bons réflexes professionnels, il faut apprendre à reconnaître les risques… et à s’en protéger aussi dans le monde numérique.
🛠️ Deux réflexes simples à adopter dès aujourd’hui :
- Toujours vérifier deux fois l’expéditeur d’un message — que ce soit avant d’envoyer un email, d’ouvrir une pièce jointe ou de cliquer sur un lien reçu.
- Ne jamais agir dans l’urgence sans avoir vérifié ce que l’on fait.
⚠️ L’urgence (souvent induite) est la meilleure amie des erreurs.
Un médecin devrait-il vraiment gérer tout cela lui-même ?
🛠️ Surveillance, mises à jour, sauvegardes, bonnes pratiques…
Je peux aider les médecins à garder leurs outils numériques sécurisés, sans que cela devienne une source de stress ou une charge en plus.
👉 Il suffit de me le confier.
ContactNote de transparence : le français n’est pas ma langue maternelle. J’utilise des outils d’intelligence artificielle pour m’aider à traduire et à corriger l’orthographe et la grammaire des articles publiés ici. Merci de votre compréhension.
Ce billet est une réflexion personnelle, subjective et non forcément rigoureuse. Il ne prétend ni à l’exhaustivité ni à l’expertise médicale.