Transmission numérique vers la CNS : ce que les médecins doivent savoir avant juillet 2025

À partir du 1er juillet 2025, les médecins exerçant au Luxembourg pourront transmettre les mémoires d’honoraires à la CNS sous forme numérique. Cette évolution s’inscrit dans le cadre du projet Digital Health CNS (DH-CNS), développé par la CNS en partenariat avec l’AMMD et les éditeurs de logiciels médicaux.
Si vous êtes médecin et utilisez un logiciel de cabinet, voici ce qu’il est important de savoir dès maintenant.
📆 Une première étape : les mémoires d’honoraires
Conformément à la nouvelle convention CNS–AMMD, l’échange numérique devient progressivement obligatoire. La première étape porte sur les mémoires d’honoraires, qui pourront être transmis numériquement à partir de juillet 2025.
- La transmission est possible dès le 1er juillet 2025 (via PID ou « Remboursement digitalisé »).
- L’obligation entre en vigueur en janvier 2026.
- Le patient pourra toujours demander une version papier pour ses propres besoins.
Les autres formulaires (ordonnances, certificats d’incapacité…) seront concernés plus tard (entre 2026 et 2027).
💻 Côté logiciel : que devez-vous vérifier ?
Pour transmettre numériquement, votre logiciel de cabinet doit être à jour et compatible avec la nouvelle infrastructure DH-CNS.
- Une nouvelle version du logiciel pourra être installée par votre éditeur à partir du 1er juillet 2025.
- Cette version doit intégrer un composant technique fourni par la CNS : l’eConnector NG.
- L’eConnector permet l’horodatage, la signature électronique et la génération de PDF officiels.
- La CNS cofinance cette transition avec un budget dédié à l’installation du nouveau système.
🧭 Que faire dès maintenant ?
- 📞 Contactez votre éditeur de logiciel pour savoir s’il est prêt pour cette évolution.
- 🔍 Vérifiez s’il a été labellisé par la CNS.
- 🛠 Planifiez une mise à jour avant l’automne 2025, sans attendre janvier 2026.
ℹ️ Ressources utiles
Pour suivre les prochaines étapes du projet et consulter la liste des éditeurs labellisés :
Note de transparence : le français n’est pas ma langue maternelle. J’utilise des outils d’intelligence artificielle pour m’aider à traduire et à corriger l’orthographe et la grammaire des articles publiés ici.
Ce billet est une réflexion personnelle, subjective et non forcément rigoureuse.